La marque

ROGUE STATION – COLLECTION FAUTE DE FRAPPE

Rogue Station, c'est une marque graphique qui cultive l’art du décalage avec subtilité, joue avec les mots, les doubles sens, les faux raccords assumés.

Je brode des idées un peu tordues sur des visuels légèrement borderline.

Ni trop sage, ni trop sale. Juste assez pour que ça pique.

Faute de Frappe

Les collaborations

COLLABORATION ET DIFFUSION

Certaines créations vivent en série limitée, d’autres naissent de rencontres : marques, lieux, artistes ou événements. On imagine des visuels en édition exclusive, dans l’esprit Rogue Station — provocateurs, graphiques, chargés de sens — mais taillés pour votre univers.

Chaque design reste fidèle à notre ton, tout en s’adaptant à l’identité du lieu. C’est du sur-mesure avec du caractère — pensé pour être vu, retenu, et surtout… diffusé.Nous collaborons avec des commerçants, boutiques indépendantes et lieux culturels pour proposer nos affiches, stickers et objets édités en dépôt-vente ou à travers des installations ponctuelles.

Chaque partenariat est pensé pour créer un vrai lien entre notre univers graphique et l’espace qui l’accueille.
L’objectif : valoriser le lieu, tout en offrant au public une création originale à découvrir, à acheter ou à emporter.

Jany Chaussure

Notre première collaboration officielle a vu le jour avec Jany Chaussure, boutique emblématique du centre-ville. Une affiche exclusive signée Rogue Station s’expose en vitrine : “Jodhpur, Aniline, Nappa, Yoke — une pointure dans la chaussure.”

Un jeu de mots graphique et audacieux, créé sur-mesure pour mettre en valeur leur identité avec notre ton.

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Les inspirations

ROUGUE STATION - DES EPOQUE OUBLIEES

Rogue Station, c’est le mélange parfait entre l’insolence et le design. Une marque qui ne s’excuse pas d’exister et qui assume son esthétique rétro-futuriste inspirée des icônes du passé. Chaque visuel raconte une époque où la provocation était un art. La marque est un clin d’œil aux ondes libres, à ces stations clandestines qui balançaient du son sans demander l’autorisation. À une époque où la vraie audace passait par un micro et une antenne bricolée.

Dans les années 60, Radio Caroline a fait péter les règles en balançant du son que personne ne voulait diffuser. La fréquence 99, c’était celle des rebelles, des voix qu’on voulait faire taire, mais qui trouvaient toujours un moyen d’être entendues. Chaque visuel raconte une époque où la provocation était un art. L’insolence, ce n’est pas crier plus fort, c’est oser parler quand on ne t’a pas donné la parole. C’est ne pas demander la permission pour exister. C’est assumer son message, quitte à déranger.

Rogue Station, c’est ça : un hommage aux radios pirates qui n’avaient pas peur de balancer du lourd. Ici, on imprime ce que d’autres n’oseraient même pas penser. C’est une claque bien placée dans le monde aseptisé du design. C’est un écho de ce que l’insolence a de plus culotté. C'est des visuels qui claquent. Des punchlines qui marquent. Un design qui ne se justifie pas. Parce que l’impact d’un message ne dépend pas de son volume, mais de sa justesse.